Cette dernière scène pouvait faire assister à des scènes telles que les responsables d’une confession qui font sortir de leur bâtiment ceux d’autres confessions ou les responsables d’une confession qui piégent ceux d’autres confessions dans l’intention de récolter frauduleusement leurs témoignages. Alors, plusieurs pratiques indignes qui ne tendaient qu’à ternir l’image des personnes dont la population est sensée prendre pour modèle.
Toujours dans cet aspect des choses, l’opinion pouvait constater que certaines confessions ont du mal à se conformer à la charte qui organise leur plateforme quand celle-ci n’allait plus à leur intérêt.
Un comportement reproché aux politiques pour lesquels les confessions ont exhibé un talent éminent.
Par ailleurs, certaines confessions pouvaient s’opposer jusqu’à ne jamais s’entendre et ceci pour le grand malheur du pays.
Certaines d’autres pouvaient compter sur le nombre de leurs fidèles pendant qu’aucune disposition de la charte organisant la plateforme ne prévoit cela.
L’église qui devait se présenter comme issue de secours pour sauver le pays en cas de crispation est devenue elle-même un instrument de crispation.
Notons que, lors d’une conférence de presse tenue ce lundi 29 novembre à Kinshasa, la conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) décide suspendre ses activités au sein de la plateforme des confessions religieuses.
D’après ces prélats catholiques certaines confessions soeurs, ne partageaient pas leurs valeurs éthiques.
« Avec la désignation des animateurs de la CENI, les évêques se sont rendus compte de la grande divergence de doctrines et de perception des valeurs éthiques avec certaines confessions religieuses. C’est pourquoi, ils ont décidé de suspendre la participation de l’Eglise Catholique dans la plateforme des Confessions religieuses », dit un communiqué de la CENCO.
Daniel Kambowa/nzadinews.net
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