Le dédoublement de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés (AFDC-A) est un fait actuel depuis Juin 2019.
Une plainte avait été déposée auprès du procureur général près la Cour de cassation contre certains membres du regroupement de Bahati qui ont fait allégeance au Front commun pour le Congo (FCC) en juillet 2019.
Un non événement pour Modeste Bahati Lukwebo qui continue son combat pour enfin arrêter le dédouanement de sa plate-forme politique.
Raison qui explique sa rencontre, accompagné des siens, le jeudi 09 janvier à Kinshasa avec Leila Zerrougui, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations unies en RDC.
Avec la numéro un de la MONUSCO, le sénateur a plaidé pour que justice soit rendue et qu’il soit rétabli dans ce ses droits.
Une procédure jugée illégale par Me Muposhi proche du Front Commun pour le Congo (FCC).
Pour cet homme de droit, « La Monusco n’a pas mandat d’être un intermédiaire ou défenseur d’un parti ou un regroupement politique vis-à-vis de ses paires ou des institutions politiques »
Le sénateur a perdu le Nord d’après Me Joseph Muposhi.
Pour l’acteur de droits de l’homme André Nguz de la Société civile Congolaise, Bahati Lukwebo MODESTE devrait se battre auprès de la justice et de la vice-primature de l’intérieur pour qu’il soit retourné dans ses droits.
_« Bahati est la véritable aile de l’AFDC-A. Seulement en voulant frapper à toutes les portes, il risque de se perdre. La justice et le vice-premier ministre sont la voie de la solution non pas ailleurs. »_souligne André Nguz.
Le président de la Dynamique Tshisekedi le peuple d’abord joint sur le sujet pense que l’heure n’est plus à la dispersion.
Le Dr Katalayi propose que « les 2 ailes, Nene Nkulu et Modeste Bahati,se mettent autour d’une même table pour fumer le calumet de la paix. ».
Il sied qu’après sa rencontre avec Leila Zerrougui, Bahati a lancé un message de secours.
« Nous demandons à toutes les femmes et à tous les hommes épris de bonne volonté, épris de paix, de pouvoir plaider notre cas pour que nous ne puissions pas à un moment donné perdre patience. Nous voulons être rétablis dans nos droits. La MONUSCO a une mission de stabilité. On ne peut pas parler de la stabilité là où il y a l’injustice », a déclaré Modeste Bahati.
Leïla Zerrougui, sans trop de commentaire,dit avoir pris connaissance de ce dossier.
Dada Kabila/nzadinews.net
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