Eu égard aux violations flagrantes et graves de lois de la RDC, ainsi qu’aux cas de corruption enregistrés lors de la sénatoriale du 15 mars 2019 en République démocratique du Congo, les voix se lèvent de partout pour exiger la pure et simple annulation de ces échéances.
Le dernier cas en date est celui de maître meschack Tshisumpa, un cadre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (udps) Lubumbashi, partage le point de vue du professeur André Mbata faisant état de retrait de la décision de la ceni sur la publication des résultats de la sénatoriale, au besoin annuler pour mettre en place une jurisprudence en cette matière.
Selon toujours la même source, bien que cette matière relève de la compétence de la cour constitutionnelle, tout congolais a le plein pouvoir et droit de se prononcer sur la question et proposer des pistes de sortie d’une crise institutionnelle.
Meschack Tshisumpa va très loin pour suggérer au président de la République démocratique du Congo Félix tshisekedi, un debauchet au nom de la constitution afin de sauver la nation quant à ce.
Sur ce, la mesure devra frapper aussi les bureaux des assemblées provinciales à travers le pays, qui ont été installées en violation de la constitution car la cour constitutionnelle était encore entrain de statuer sur leurs règlements intérieurs.
Dédé NGANDU
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