De la parole à l’acte, Jacques Kyabula Katwe entrain de réaliser sa plus grande promesse à la population de sa juridiction.
Faisant de la lutte contre l’importation de la farine de maïs dans la province du Haut-Katanga et pour répondre à sa promesse lors de son arrivée à la tête de la Province, l’autorité provinciale avait multiplié des stratégies pouvant permettre aux Haut- Katangais de se prendre en charge sur la question combien importante mais que tous ses successeurs n’avaient pas réussi à éradiquer.
Dépendant de la Zambie, Afrique du Sud et d’autres pays voisins pour s’approvisionner en farine de maïs alors que le Haut-Katanga a l’eau, la terre…était pour lui impardonnable. Pour Wa Ndani, comme l’appellent ses administrés, décida de réunir les agriculteurs de la province afin de trouver des solutions cette fois- ci définitives contre cette situation en les finissant en intrants chimiques et bien d’autres produits dont ils avaient besoin et aujourd’hui, le Haut-Katanga loin de toute publicité a maîtrisé la hausse de prix et la rareté de la farine de maïs sur les marchés locaux.
La farine de maïs produite par le gouvernement Kyabula sort déjà des minoteries et sera vendue à petit prix.
Gérer étant prévoir, le numéro Un de la province vient d’administrer une leçon de plus à ceux qui pensaient que c’était difficile de miser sur la main d’oeuvre locale.
Pour pallier l’utile à l’agréable, les premiers à manger du fufu à base du bunga Haut- Katanga dès ce sont les enfants aveugles de l’Institut Nuru, les personnes à mobilité réduite du centre de N’Djamena et celles du 3ème âge de l’hospice de Kamalondo. Toujours proche de cette gâterie de personnes, Jacques Kyabula Katwe a livré lui-même ladite farine et les autres vivres.
Il faut noter que la farine made in Haut-Katanga provient des maïs remboursés par les bénéficiaires des intrants et elle constitue les premiers résultats de la table ronde sur l’autosuffisance alimentaire organisée par le Gouvernement Kyabula en septembre 2019, au lendemain de son investiture.
La population peut vaguer librement à ses occupations, car le prix de la farine de maïs qui, jadis était un casse-tête est bien maîtrisé par le management de Jacques Kyabula Katwe.
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