Dissolution de l’assemblée nationale : Mabunda en manque d’arguments,selon Daniel Ebondo.

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La dissolution de l’assemblée nationale, Madame MABUNDA a trop parlé pour ne rien dire.
François Rabelais disait en son temps :  » ce qui se conçoit bien , s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément « .TV
Ce dicton peut très bien s’appliquer à l’honorable présidente de notre assemblée nationale dont la diction parfaite et l’agencement des idées nous rapellent certains illustres orateurs politiques qui ont émaillé la vie politique de ce grand pays.. , fort malheureusement, comme elle, nous ne retiendrons d’eux que la couleur suave de leur verve dont le fiel mielleux a enfoncé la nation dans le gouffre de la médiocrité et du sous développement, son corollaire majeur…

Avec un empressement sans commune mesure, elle s’est évertuée pendant de précieuses minutes qu’elle aurait dû consacrer à de tâches autrement plus urgentes à repondre à des questions qui ne lui ont pas été adressées jouant à l’apprenti professeur de droit constitutionnel alors qu’on ne l’avait jamais auparavant entendu lever le moindre pouce lorsque cette nation était sur le point de se disloquer à cause des questions juridiques de haute portée.
Nous apprenons avec étonnement que le droit fait partie des matières inscrites au programme de sa formation, et notre étonnement en est plus exacerbé en voyant l’usage aussi mesquin qu’elle en fait, et la torsion- que nous croyons volontaire pour servir la cause- des notions fondamentales et basiques apprises au niveau des promotions de recrutement dans nos universités. Si elle ne sait même pas ce que veut dire ratio legis , quel crédit peut-on accorder au reste de son développement ? Car ratio legis renvoie aux raisons qui ont milité à la création d’une loi et non aux conditions de son application, mais cela, notre chairlady était sensée le savoir si elle n’avait pas séché ce cours et celui d’éthique et déontologie professionnelles .

Que dire de plus !?

Le chef de l’état est une institution et son discours aux compatriotes de la diaspora n’appelle à aucun débat ni droit de réponse d’un membre du congrès, fût-il président de l’assemblée nationale..cela aussi la chairlady était sensée le savoir si elle avait fait fidèlement ses classes et que les pompeux titres académiques dont elle se prévaut ne sont que de la poudre de perlimpinpin lancée aux yeux d’une nation a majorité analphabète par le fait de ceux-là qui se targuent d’avoir étudié outre-mer avec l’argent du contribuable et dont elle fait malheureusement partie (bourse d’études vainement gaspillées ?)

Nous allons donc nous arrêter ici pour l’instant en rappelant à celle qui trône sur le perchoir de l’ AN par la magie des choix occultes et la volonté de son maître absolu au prix de je ne sais quelle compromission physique et spirituelle que le président FELIX ANTOINE TSHISEKEDI occupe son poste par la volonté du peuple souverain et du peuple souverain seul et que nul ne peut toucher à sa présidence sans l’aval de ce peuple, le choix du peuple clairement exprimé en décembre 2018 qui a solennellement rejeté de façon catégorique le candidat de son parti pour lui préférer FELIX ANTOINE TSHILOMBO TSHISEKEDI…?cela seul suffit à clore ce débat de caniveaux qu’elle croit encore d’actualités.François Rabelais disait en son temps :  » ce qui se conçoit bien , s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément « .TV
Ce dicton peut très bien s’appliquer à l’honorable présidente de notre assemblée nationale dont la diction parfaite et l’agencement des idées nous rapellent certains illustres orateurs politiques qui ont émaillé la vie politique de ce grand pays.. , fort malheureusement, comme elle, nous ne retiendrons d’eux que la couleur suave de leur verve dont le fiel mielleux a enfoncé la nation dans le gouffre de la médiocrité et du sous développement, son corollaire majeur…

Avec un empressement sans commune mesure, elle s’est évertuée pendant de précieuses minutes qu’elle aurait dû consacrer à de tâches autrement plus urgentes à repondre à des questions qui ne lui ont pas été adressées jouant à l’apprenti professeur de droit constitutionnel alors qu’on ne l’avait jamais auparavant entendu lever le moindre pouce lorsque cette nation était sur le point de se disloquer à cause des questions juridiques de haute portée.
Nous apprenons avec étonnement que le droit fait partie des matières inscrites au programme de sa formation, et notre étonnement en est plus exacerbé en voyant l’usage aussi mesquin qu’elle en fait, et la torsion- que nous croyons volontaire pour servir la cause- des notions fondamentales et basiques apprises au niveau des promotions de recrutement dans nos universités. Si elle ne sait même pas ce que veut dire ratio legis , quel crédit peut-on accorder au reste de son développement ? Car ratio legis renvoie aux raisons qui ont milité à la création d’une loi et non aux conditions de son application, mais cela, notre chairlady était sensée le savoir si elle n’avait pas séché ce cours et celui d’éthique et déontologie professionnelles .

Que dire de plus !?

Le chef de l’état est une institution et son discours aux compatriotes de la diaspora n’appelle à aucun débat ni droit de réponse d’un membre du congrès, fût-il président de l’assemblée nationale..cela aussi la chairlady était sensée le savoir si elle avait fait fidèlement ses classes et que les pompeux titres académiques dont elle se prévaut ne sont que de la poudre de perlimpinpin lancée aux yeux d’une nation a majorité analphabète par le fait de ceux-là qui se targuent d’avoir étudié outre-mer avec l’argent du contribuable et dont elle fait malheureusement partie (bourse d’études vainement gaspillées ?)

Nous allons donc nous arrêter ici pour l’instant en rappelant à celle qui trône sur le perchoir de l’ AN par la magie des choix occultes et la volonté de son maître absolu au prix de je ne sais quelle compromission physique et spirituelle que le président FELIX ANTOINE TSHISEKEDI occupe son poste par la volonté du peuple souverain et du peuple souverain seul et que nul ne peut toucher à sa présidence sans l’aval de ce peuple, le choix du peuple clairement exprimé en décembre 2018 qui a solennellement rejeté de façon catégorique le candidat de son parti pour lui préférer FELIX ANTOINE TSHILOMBO TSHISEKEDI…?cela seul suffit à clore ce débat de caniveaux qu’elle croit encore d’actualités.


Daniel Ebondo

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