Vêtus de chemises blanches, des pantalons pour les garçons bleus ou noirs et jupes bleus ou noirs pour les filles, stylos à la main et macarons accrochés aux cous, c’est ainsi que les élèves finalistes de l’examen d’État se sont rendus, aux premières heures de ce lundi 08 mai, dans différents centres choisis à cette occasion, pour passer la première épreuve des examens préliminaires qui est la dissertation.
Près d’un million d’élèves sont attendus aux épreuves de l’examen d’État édition 2023 sur toute l’étendue du territoire national et près de 20.000 élèves pour la province éducationnelle de Kinshasa.
Déjà à partir de sept heures juste, nombreux ont été les élèves qui sont entrés dans leurs locaux pour passer leurs épreuves.
Pour cette première journée, les élèves finalistes congolais devront se choisir un sujet et porter des réflexions rédactionnelles à la lumière des enseignements reçus depuis la septième année du cycle d’orientation.
Cette année, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique »EPST » Tony Mwaba, souligne que la rigueur dans la correction sera de mise.
»J’ai imposé la rigueur pour la correction et la publication des résultats des épreuves certificatives dont les effectifs ; pour l’édition 2023 s’élèvent à 1.000.078 pour l’examen d’État », a annoncé Tony Mwaba.
Clément Kalonji s’est dit content de passer ses épreuves et rassuré que le gouvernement ait pris ses responsabilités relativement à la tenue de ces examens.
»Je suis content de passer ces épreuves d’abord avec la dissertation. A un moment, j’avais eu peur de voir cette programmation être repoussée. Je salue l’implication du gouvernement quant à ce et je me souhaite le meilleur pour le résultat et pour la vie de manière générale », fait-il savoir.
Dans un même ordre, les épreuves de français oral seront organisées du 10 au 16 mai et celles des pratiques professionnelles du 17 au 20 mai pour les élèves finalistes.
DKB/nzadinews.net
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