UNAFEC : Angel Kyungu parle de la succession de Gabriel Kyungu, son feu père

Angélique Kyungu brise son silence face aux rumeurs sur une probable explosion de l’UNAFEC.

“Il n’y a pas de crise à l’Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC)”,a-t-elle dit.

Haussant le ton, la fille biologique de Gabriel Kyungu et cadre du parti affirme qu’ ” Il n’y a pas deux ailes du parti au pays.L’UNAFEC reste une et indivisible comme toujours.”

Aussi, sur cette lancée, la Commissaire provinciale en charge de l’emploi, travail et prévoyance sociale du gouvernement du Haut-Katanga a réaffirmé l’appartenance de l’UNAFEC et à l’union sacrée pour la Nation patronnée par le président de la République.

« Nous avons un testament que Baba nous a légué : nous sommes derrière le chef de l’État» a dévoilé ce cadre de l’UNAFEC.

« De toutes les façons, nous allons respecter la procédure et les règlements du parti. Que tout celui qui a des ambitions postule», a-t-elle dit à propos de la succession.

« Il n’y a rien d’alarmant dans le sens que nous sommes en bonne collaboration avec tous ceux qui assument l’intérim de Gabriel Kyungu » a-t-elle ajouté.

Angélique Kyungu précise avouée non seulement son appartenance au parti cher a son feu père mais surtout ma conservation de l’idéologie de Gabriel Kyungu son fondateur.

“Nous suivons ce que Baba nous a laissé comme ligne de conduite et nous soutenons le Président Félix Tshisekedi. Nous n’avons pas encore pris une décision contraire à ce que Gabriel Kyungu nous a laissé”.

Pour elle, il n’est pas question de se vendre à moins chère ou se rendre mine de rien à un quelconque camp politique.

«Je suis commissaire provinciale et c’est pour le compte de l’Union sacrée.Nous avons un autre poste au ministère de l’Intérieur et je ne vois pas pourquoi aujourd’hui nous allons nous plaindre » a dit Angélique Kyungu.

Pour elle, le poste de l’assemblée provinciale revient toujours à l’UNAFEC.

«Ce poste revient à l’UNAFEC et nous allons nous battre pour que cela puisse nous revenir.Mais cela ne conditionne pas notre position par rapport à l’Union sacrée », dit-elle.

En attendant dans l’union sacrée Haut-Katanga, les violons ne s’accordent pas sur la représentation du chef de l’état et la succession de Gabriel Kyungu wa Kumwanza.

Olivier King/nzadinews.net

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