Après le Conseil provincial de sécurité ténu ce vendredi 22 mars, à Lubumbashi au cours duquel PANDE KAPOPO dit ne pas avoir peur du Président de la République et de son Directeur de cabinet.
“Ils viennent d’arriver, ils ne savent pas comment fonctionnent ce pays. Ils ne me font pas peur, ils n’ont pas d’argent et leur pouvoir est limité.” dit l’homme à la tête chauve.
Il affirme aller à Kinshasa par pure formalité et se moque de ses anciens chefs.
“Je vais juste parce que ne voulant pas de polémiques. Joseph KABILA qui se croyait fort et qui m’a bloqué à la députation, n’a pas su me bloquer aux sénatoriales. Que peuvent me faire les nouveaux venus ?Combien de fois je suis allé à Kinshasa, sous KABILA et je suis revenu ??” rapporte un de ses collaborateurs sous anonymat.
Pande Kapopo insiste et signe.
“Je vais tenir ma promesse aux élus du Haut-Katanga pour qu’il fasse confiance à KYABULA le 10 avril. Ce sont des bruits qu’ils font. Je reviendrais et je verrais les députés avant le 10 pour que ça se passe bien pour mon jeune frère, mon Dauphin.” a t-il renchérit.
Quelles sont ses promesses faites créneau de l’Assemblée provinciale du Haut-Katanga?
Confère le lien
https://www.indrc.info/politique/tentative-et-promesse-de-corruption-mpande-kapopo-pris-la-main-dans-le-sac
Nous nous interrogeons sur le motif de sa convocation à Kinshasa.
Trois affaires possibles :
1. Les deux milliards des francs Congolais utilisés dans la corruption pour son élection sénatoriale
2 . Les cinq millions des dollars empruntés à la BCDC pour le compte de la province, mais affectés à ses fins propres et à celles de son protégé candidat gouverneur et ministre des finances à savoir la spoliation et construction des villas à Lubumbashi, construction des villas en Afrique du Sud etc..et surtout le financement de la campagne de son beau-frère : Jacques Kyabula.
3. Le nombre inimaginable des filles violées et l’insécurité indescriptible et injustifiée à Lubumbashi avec des coups de balles à l’allure de la guerre, chaque soir.
Il vous souviendra que celui qui était incapable de se faire élire dans son village natal avec les moyens de l’État a utilisé les mêmes moyens pour corrompre certains députés provinciaux pour être élu sénateur.
Dossier à suivre…
Christian MWANSA
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