Les années d’errance de MOÏSE KATUMBI CHAPWE auraient entraîné la perte de la raison à cet ancien gouverneur du Grand Katanga au point d’offrir à chaque sortie des spectacles délirants.
Le plus dernier a connu pour objet de scène, la province pilote de Lualaba.
Sans peur d’être contredit par la réalité du terrain, MOÏSE KATUMBI s’est targué le luxe de s’attaquer à la gestion du Lualaba à travers une interview réalisée avec une chaine de radio locale.
Dans ses propos, le soi-disant opposant a manifestement affiché sa hargne contre le développement rapide que connait la nouvelle province dont la gestion est entre les bonnes mains de l’un des ses dignes fils, RICHARD MUYEJ MANGEZE MANS, auteur d’une gestion impressionnante qui lui a valu même la reconduction à la tête du Lualaba pour un deuxième mandat consécutif.
Cela grâce à la gestion transparentes des ressources locales combinée à l’envie de mieux faire qui caractérisent le gouverneur MUYEJ et les membres de son gouvernement.
Dans moins temps, le jadis district de la province du Katanga s’est métamorphosé. Les infrastructures ne cessent de pousser comme des champignons à l’admiration et satisfaction des Lualabais eux-mêmes et de tous ceux qui y passent pour diverses missions voire le tourisme .
Ce changement subi en un temps record remet en cause la megestion des anciennes autorités du Grand Katanga avant son démembrement.
Pour se dédouaner et tromper la vigilance de la population de ces nouvelles provinces qui soufflent maintenant l’air du développement, certains optent pour la démagogie pure et simple.
À court d’arguments, ils recourent même au mensonge comme arme pour justifier l’injustifiable.
Perdant pédale, l’ex gouverneur MOÏSE KATUMBI s’est même déclaré être le premier à installer les Minings à Kolwezi. Déclaration qui a du mal à gagner l’assentiment des Lualabais qui étaient les véritables perdants de cette mésaventure.
Assis sur le cobalt, les habitants du Lualaba voyaient leurs ressources minérales s’emporter pour les intérêts des capitalistes sans en bénéficier.
Il a fallu attendre l’application effective de la loi portant sur la décentralisation pour jouir de leurs richesses naturelles.
Pour nombreux citoyens vivant au Lualaba, ces déclarations ne doivent pas intéresser les autorités provinciales qu’ils invitent à ne jamais céder aux distractions plutôt qu’à maintenir le cap pour mener le développement de la province à bon port surtout que la boussole indique déjà le Nord.
L’observateur.
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