A Uvira, la traque des rebelles est devenue une véritable obsession pour l’armée congolaise.
Elle montre sa détermination à en finir avec l’activisme criminel dans les zones périphériques. Le groupe de miliciens Kijangala vient d’être mis en déroute dans le moyen plateau d’Uvira, lors d’une offensive menée par les FARDC entre le 1er et 02 mai 2022 contrée est maintenant sous contrôle de l’armée régulière.
Cela s’est passé sous la conduite du commandant opérationnel Sokola 2 au sud du Sud-Kivu, le général de brigade Ramazani Fundi.
La société civile félicite les forces loyalistes pour cet exploit. Les militaires doivent compter sur le soutien des structures citoyennes, indique un activiste de droits de l’homme sur place.
Ces maï-maï avaient tissés des liens serrés avec le mouvement rebelle étranger imbonerakure.
Les Kijangala faisaient leur loin dans les moyens plateaux. Ils patrouillaient dans la partie qu’ils ont investie, et avaient même érigé des barrières payantes. Ces assaillants interpellaient les gens et les retenaient contre leur gré.
«Ces miliciens semaient la désolation à Kigoma (Sud-Kivu) et Lemera en plaine de la Ruzizi dans le groupement Kabunambo et Luberizi et parfois dans la cité de Sange, depuis plusieurs années », a indiqué pour sa part André Byadunia Mashaka, coordonnateur de la nouvelle société civile congolaise au sud du Sud-Kivu.
Et d’ajouter :
«La nouvelle société civile congolaise au sud du Sud-Kivu, réitère sa confiance aux forces de sécurité et les encourage à poursuivre avec le même élan. Nous demandons en outre à la population de continuer de collaborer avec les FARDC ».
Ildephonse Wilondja/ Nzadinews.net
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