Ses événements se sont déroulés entre la soirée de samedi 21 Août à celle de dimanche 22 août 2021 à cause d’un besoin sexuel qu’un militaire voulait satisfaire à tout prix.
Il s’agit d’un garde du corps d’un officier des FARDC qui a tiré sur plusieurs personnes parmi lesquels le bailleur de son chef à Kisangani, chef-lieu de la Tshopo, la soirée du samedi, sur la 15e avenue dans la commune de Kabondo.
Selon certaines versions, la victime a reçu une balle quand il voulait secourir sa fille mineure que ce garde du corps tentait de violer en l’absence de ses supérieurs.
Le crépitement des balles a semé la panique et la crainte chez les voisins qui se sont vus obligés d’abandonner leurs maisons.
D’autres personnes ont été atteintes par des balles perdues dans les voisinages.
« Le militaire est enfermé avec la victime, ce qui nous inquiète.Est-ce que le corps ne va pas se décomposer ? Il n’y a pas moyen d’entrer là-bas. Les forces de sécurité sont déterminées à en finir avec son aventure», assure la bourgmestre de Kabondo Godelive Mosunga.
Comme dans un film de fiction mais cette fois pour de vrai, tentant de le maîtriser, des militaires et des policiers déployés sur les lieux ont lancé des gaz lacrymogènes à la maison où se trouvait le bourreau mais en vain. En revanche, ce militaire répliquait par des tirs réels.
C’est vers la nuit après une démonstration des forces des Vaillants militaires qu’il a été maîtrisé.
Ces derniers auraient lancé une roquette dans le paramètre du drame et l’assassin a été contraint de sortir en tirant à balles réelles à bout portant.
Olivier King/nzadinews net
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