Le vrai pouvoir appartient aux chefs de terres.Il faut commencer par les reconnaître.
Jean-Luc Kienge avec son expérience acquise au Canada est arrivé à une expertise qui laisse pantois : « Le développement de la RDC partira de nos villages. Notre pays ne se développera jamais comme le Canada, les Etats-Unis ou la France. Notre développement doit tenir compte de ce que nous sommes, comment nous vivons et améliorer notre bien-être, sans vouloir devenir les autres ou les singer. »
L’ancien animateur de Vac Radio, nommé coordonnateur des chefs coutumiers du Haut-Katanga, estime que nos villages doivent être électrifiés avec des panneaux solaires. Il met nos villages au cœur de sa vision de développement.
Il veut créer un réseautage des populations congolaises villageoises, encourager de l’écotourisme, l’éducation en ligne, prendre en compte la santé des villageois mais surtout avoir l’accès à l’eau potable.
Et comme un exemple, Jean-Luc Kienge vient de créer une société de forage d’eau.
‘La terre ne ment jamais ! Quand tu plantes, tu vas récolter. » pense t-il.
Jean-Luc Kienge s’est mis au travail de la terre. Il bêche, laboure et cultive la terre.
Certains villages et communautés rurales du Haut-Katanga vivent d’une économie de subsistance, perpétuent encore un mode de vie traditionnel. Si la vie des villages semble relativement tranquille, l’ »isolement » apporte son lot de difficultés au quotidien : accessibilité restreinte en matière de santé, scolarisation, travail… etc.
Face à cet isolement et au manque de perspectives professionnelles, les jeunes de ces villages ont un sentiment d’exclusion, d’échec et une absence de vision d’avenir.
Jean-Luc Kienge en soutenant les chefs coutumiers du Haut-Katanga veut contribuer à permettre aux villageois de prendre leur destin en main avec des projets collectifs de développement local et durable pour leur village.
nzadinews.net rédaction
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