La vidéoconférence gagne du terrain dans les institutions de l’État en République Démocratique du Congo depuis la propagation de la COVID-19.
Conseil des ministres, plénières du parlement, réunions et autres séances de travail importantes de l’État se font en vidéoconférence.
Une technique qui facilite le déroulement du travail mais qui a des conséquences vu que les hakers hantent le monde cybernétique.
Fait qui a tiqué Célestin Tunda Ya Kasende.
Le Vice-Premier Ministre de la Justice et Garde des Sceaux Célestin Tunda Ya Kasende a fait part au Conseil des Ministres de la nécessité de disposer d’un arsenal juridique permettant de combattre la cybercriminalité et la pédopornographie.
Pour l’Ir Enosch Constant Mizobi Tujibikile,pour éviter tout piratage du cyber-Travail que nos institutions utilisent il faudrait que l’état congolais crée via ses services compétents un logiciel propre à lui.
« Pour éviter de fuiter les informations, il faudrait que les utilisateurs congolais de cette technologie (vidéoconférence) se contentent d’un logiciel « fait maison » c’est-à-dire programmé étape par étape par les ingénieurs congolais dit l’Ir en génie informatique.
Cela n’est cependant pas suffisamment pour lutter contre toute fuite.
Enosch Constant Mizobi insiste que « la programmation devra être faite par des personnes bien identifiées, des congolais de préférence, discrètes manuellement. »
Quant au deuxième aspect de la demande de Tunda Ya Kasende , à savoir la cybercriminalité et pédopornographie, il est impérieux que le parlement s’y penche pour une loi.
Ibn Iman EKI/nzadinews.net
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