La dernière parution de l’Africa Report, un des magazines les plus fiables du continent, a plébiscité Albert YUMA Mulimbi en exemple parmi les 100 personnalités les plus influentes d’Afrique, pour son rôle de « Président du Conseil d’Administration (PCA) de la Générale des Carrières et des Mines (Gécamines) ».
La Gécamines, société minière étatique,une des plus grandes du continent, contrôle les réserves stratégiques des minerais de notre avenir électrique : Cuivre et cobalt.
Poumon de l’économie du pays, cette entreprise est tombée dans le coma début 1990, pour presque disparaître.
Il a fallu quelques années, grâce à la nomination salvatrice en 2010 d’Albert YUMA Mulimbi par le président Joseph Kabila Kabange, voir le géant à genou se réveiller de son coma.
Né, le 30 juillet 1955 à Kongolo (Tanganyika), Albert YUMA, président de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) depuis fin 2004, est le géniteur de l’actuel code minier qui prône pour l’intérêt d’abord du congolais.
Longtemps roulé par les capitalistes, la pauvre population congolaise voyait ses richesses pillées sans se retrouver.
Il a fallu le génie de Yuma, Diplômé de l’Université catholique de Louvain en administration et gestion financière, gestion des entreprises, sciences du travail, sciences économiques pures, pour qu’un terme soit mis à ce pillage illicite des richesses.
A cet effet, le patriote Albert YUMA , homme viscéralement engagé au développement de son pays, est devenu la cible des impérialistes et leurs.
Certains congolais, impressionnés par ces ONG des étrangères voire congolaises à la solde des pilleurs, lui attribuent régulièrement tous les maux du pays au nom de la lutte contre la corruption et la défense de la démocratie.
Sans preuve, si ce n’est la haine, ces lanceurs d’alerte en exil l’accusent, au nom de leur inconscience, de brader le patrimoine national, voire d’anciens ingénieurs aigris, ne craignant aucun ridicule, l’accusent de jeter des milliards dans les rivières…alors qu’en visionnaire Albert YUMA Mulimbi s’est projeté dans le temps pour garantir l’intérêt de tout un peuple.
Actuellement légions ces faux résistants de la dernière heure rivalisent à qui mieux mieux dans une sorte de transe dénonciatrice, qui ne masquent pourtant que trop de mal la défense de leurs petits intérêts ou ceux de qui ils cherchent à plaire.
Et pourtant, YUMA s’est battu et a pris des risques pour que la RDC gagne contre partie de l’étranger, au mépris de ses propres intérêts.
Il s’est érigé en un homme central pour les intérêts du pays dans les efforts continus menés par les congolais pour obtenir des entreprises minières une part plus importante des royalties.
Si les détracteurs n’y comprennent rien, les autres africains l’honorent pour s’être battu afin que la RDC obtienne une part plus importante des richesses de notre pays, richesses qui conditionnent une partie plus que substantielle de la future industrie électrique mondiale et intéressent à ce titre la planète.
Ces personnalités, bien loin de nos petites intrigues politiciennes qui n’honorent pas ceux qui s’y adonnent, voient bien que le combat qu’Albert Yuma a mené avec courage et mène encore à la Gécamines contre tous les conservatismes, dépasse largement les seules frontières de la RDC pour embrasser celles de tout le continent. Elles savent bien ce qui se joue réellement en ce moment et c’est pourquoi elles observent avec attention, et probablement avec espoir, l’issue de cette lutte,à savoir si un pays africain arrive enfin à reprendre le contrôle sur ses propres richesses naturelles ou si,pour l’éternité, les pays africains sont condamnés à n’être que des passagers quasi-clandestins de leur propre développement.
Alors, la prochaine fois que vous entendrez des accusations souvent plus invraisemblables les unes que les autres, d’ailleurs, sur cet icône du management et avant d’y prêter quelque crédit, repensez à ce classement et aux raisons qui ont poussé ses membres à y intégrer Albert YUMA, et demandez-vous à qui elles profitent.
Outre l’apparition du nom de Yuma dans le Top 100 des hommes d’affaires les plus influents du continent africain par le New African Magazine, le président de la FEC est aussi Commandeur de l’Ordre de la Couronne (Belgique).
nzadinews.net rédaction
Views: 90
+ There are no comments
Add yours