NTIC : l’urine, futur carburant et producteur d’électricité !

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La nature ne produit jamais quelque chose d’inutile.Tout ce qui provient d’elle servirait à quelque chose si on s’y intéresse à fond.

Selon certaines révélations scientifiques, l’urine pourrait nous rendre quelques précieux services que voici :

  1. Le pipi peut être un futur carburant pour les voitures et autres véhicules ou encore d’autres machines et moteurs.

A l’avenir on se videra les vessies dans nos réservoirs. Ah oui! pas de gaspillage. Peu importe, ce tour de passe-passe existe et consiste à extraire l’hydrogène contenu dans l’urée de notre urine par un procédé d’électrolyse. Celui-ci est ensuite utilisé pour alimenter une pile à combustible productrice d’énergie. En Bretagne, c’est un éleveur de porcs qui a décidé de passer à la vitesse supérieure grâce aux 4320 litres d’urine produits quotidiennement par ses 360 truies, de quoi produire, sur le papier, 216 kg d’hydrogène gazeux par jour, soit en théorie de quoi rouler 20000 kilomètres.

Il faut en effet 11 m³ pour stocker 1 kg d’hydrogène gazeux.Il y aura de quoi faire un grand stock pour une vente de pipi par litre.

  1. L’urine peut encore être utilisée pour produire de l’électricité Pee-Power

Selon certaines recherches, l’activité bactérienne contenue dans le pipi permet en effet de produire de l’énergie par effet d’oxydo-réduction, grosso modo par un savant transfert d’électrons. Une énergie verte jaune utilisée depuis 2015 au festival de musique de Glastonbury en Angleterre où les 40 toilettes fréquentées par les 130 000 festivaliers alimentent en énergie les 10 panneaux d’affichage du site, tout en générant suffisamment d’électricité pour permettre aux artistes et au service presse de recharger leur batterie de téléphone.

  1. En outre votre pipi ferait un engrais naturel pour l’agriculture.

Selon l’histoire proche, avant la révolution industrielle, l’urine humaine, riche en nutriments, était régulièrement utilisée comme engrais pour nourrir les sols agricoles. Un retour aux sources, au pipi donc, intéresse de plus en plus de chercheurs et d’exploitants, mais des difficultés restent à lever comme la récupération, le transport (pour obtenir 100 kilos d’azote, il faut plus de 20 tonnes d’urine liquide contre 300 kilos d’engrais classiques) et l’épandage des urines jusqu’aux champs, sans parler de l’acceptation des consommateurs, peu habitués à ce type d’engrais pour faire pousser ce qu’ils auront plutard dans leurs assiettes.

La mère nature ne cesse de nous surprendre du jour au lendemain. Car il n’y a rien d’inutile en elle.Tout contribue à un objectif.

OSK/nzadinews.net

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