Cela fera bientôt 9 mois que la situation n’a pas changé dans la cellule Safari au quartier Kalebuka.
Le courant électrique de la SNEL n’existe plus quand bien même que les installations y restent.
« Les agents de la SNEL viennent à la cabine pour réparation mais sans succès.On nous amène des transformateurs qui ne marchent toujours pas comme il faut. » explique un résident du quartier.
Les habitants craignent que les câbles soient emportés par manque de courant et déplorent par la même occasion la mulplication des cas d’insécurité qu’occasionne la situation dans leur cellule.
« Les attaques par les inciviques deviennent frequentes. J’ai été attaqué par des jeunes bandits qui on profité du noire pour me dépouiller.Nous en appellons à l’implication du gouvernement provincial. » explique un jeune du quartier.
Le calvaire est aussi grand pour les vendeurs des vivres frais qui n’ont plus d’autres choix que de recourir à d’autres sources de production de l’énergie électrique, principalement les panneaux solaires et groupes électrogènes pour leurs activités.
Olivier King/nzadinews.net
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