La société civile est suffisamment infiltrée surtout par la jeunesse au service des personnalités qui se sont engagées à mettre fin à cette dynamique qui a trop exigé aux tenants du pouvoir.
Plusieurs mouvements citoyens naissent avec comme majorité de fondateurs des jeunes qui ont fait la SOCICO, les partis politiques et par après les mouvements citoyens.
Le contexte actuel exige que la société civile soit contextualisée étant donné que la population a déjà des interlocuteurs valables ( les élus).
Quelqu’un qui quitte la société civile doit foncer et solliciter l’accompagnement de ses anciens collègues.
Quitter la société civile et y revenir après, ne vise qu’enterrer ce patrimoine commun.” pense Monsieur Dieudonné Okalokalo, un membre de la Socico.
Il est grand temps que le ministère de l’intérieur recadre les compétences des acteurs de la société civile Congolaise pour casser cet imbroglio. souligne Eddy Mulombo,un acteur de la société civile à Lubumbashi.
De nos jours, les partis politiques sont pleins des cadres anciens membres de la société civile : Henry Mova Sakani, Bahati Lukwebo, JC Muyambo Kyassa, Constant Mutamba…en sont des exemples visibles.
La société civile Congolaise est-elle devenue le raccourci pour avoir un poste gouvernemental ou se frayer une voie facile pour atteindre ses fins politiques?
Le Professeur Kibimbi l’affirme.
“La population devra lire derrière chaque acteur de la société civile Congolaise l’intention cachée.” dit rassuré cet historien.
Sensée être neutre,la société civile est partiale de nos jours. Fait qui lui fait perdre sa valeur et oublier sa mission.
Cependant, les acteurs valeureux restent encore à compter du bout des doigts dans cette composante.
Dada Kabila/nzadinews.net
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