Une élève est en garde à vue à Manono, dans la province du Tanganyika, après un mouvement trouble causé par des finalistes du cycle secondaire qui n’ont pas satisfait aux épreuves d’examen d’État, hormis un seul candidat.
Dans un élan de colère, ils ont manifesté jeudi 25 Août, brisé par les jets de pierres les vitres et ont cassé quelques pupitres de leur établissement dénommé institut Mwinya défiguré.
Une institution qui organise deux options : Mathématique-Physique et Latin philo.
Selon une source sur place proche du dossier, les enquêtes se poursuivent pour trouver d’autres casseurs.
Le sort de l’institut Mwinya n’est pas un cas isolé.
Dans la sous-division Manono 1, l’an passé le 30 août, les élèves du degré terminal qui soupçonnaient déjà leur échec avaient battu le pavé en incendiant des bureaux scolaires et certains dossiers de la sous-division.
Leurs écoles n’avaient pas été épargnées.
Les dirigeants des associations des parents d’élèves avaient rédigé une lettre aux responsables de l’EPST pour faire leur mea culpa compte tenu de l’agissement des élèves.
Ildephonse Wilondja/nzadinews.net
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