Au marché de la Liberté dans la commune Masina (Kinshasa), les marchands indiens semblent marcher à l’opposé de l’autorité de l’État.
Alors qu’ils ne vendent pas des denrées alimentaires et produits de première nécessité, leurs magasins sont grandement ouverts à la barbe des autorités polico-administratives et policières.
Les bourgmestre, chefs de quartier et l’administration du marché semblent être complices.
Pendant que ces sujets indopakistanais vendent à leur aise les appareils electromenagers sans être inquiétés, les petits détaillants (commerçants) congolais, sans soutien, sont déguerpis sans aucune forme de procès.
« Nous déplorons cette politique de deux poids deux mesures. Les agents de la commune nous interdisent de vendre au profit des indiens qui feignent de vendre des produits vivriers qui sont protégés par les mêmes agents. Ils exposent quelques sacs de riz, farine et bidons d’huile à l’entrée pour masquer la vigilance alors qu’en réalité, ils sont entrain de vendre les appareils électroménagers et autres produits. » déclare Mukuna Fils un petit détaillant à notre rédaction.
Il est temps que le gouvernorat de la ville province se réveille pour mettre en application les mesures de lutte prises contre le Coronavirus dans cette période où le pic pandémique d’explosion exponentielle approche à Kinshasa.
Mudjadja Kahite/nzadinews.net
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