Kinshasa : les parties prenantes dans les ressources naturelles réfléchissent à la 5ème Session conjointe IDAK-IDAKI

Pendant trois jours, les représentants des services étatiques, de la société civile, des entreprises minières et coopératives minières vont réfléchir dans les débats constructifs et citoyens avec des recommandations objectives et réalisables dans le but d’améliorer la Gouvernance minière, la gestion de la biodiversité afin de permettre une gestion Responsable et durable en RDC avec son impact sur le développement communautaire a signalé, Dr Guy Muswil, Président du comité du pilotage IDAK, qui est une plateforme de dialogue pour les investissements durables au Katanga.

C’est le Secrétaire Général en charge de l’environnement et développement durable Toriambe et Représentant de la vice Premier Ministre en charge de environnement et développement durable empêchée qui a procédé au lancement officiel de cette 5eme session plénière conjointe IDAK-IDAKI.
Le Représentant a signalé aux parties prenantes que jusque là,il n’y a encore de l’équilibre dans les préoccupations environnementales, Sociales et économiques dans l’exploitation des ressources naturelles en invitant les acteurs impliqués et la communauté à la conscience et Responsabilité face à la pression que nous faisons à la nature tout en appelant aux changements des donnes vers la bonne gouvernance dans les domaines de la vie de la Nation congolaise.

Plus de 2 millions de tonnes de cuivre produites par l’industrie minière en RDC pour quel impact social et environnemental, s’est interrogé à cœur ouvert, Monsieur Louis Watum, Président de la chambre des Mines, fédération des entreprises du Congo, qui a profité de cette session pour encourager les parties prenantes à prendre des options fermes, des engagements fermes et d’avoir la capacité de les mettre en œuvre envue de permettre aux générations futures à accomplir également leurs obligations sociétales.

L’ambassade de la République d’Allemagne en RDC et le représentant Pays de l’USAID ont encouragés les acteurs dans le domaine des ressources naturelles à contribuer positivement vers l’atténuation et réhabilitation de l’environnement afin de répondre et faire face au réchauffement et changement climatique.

Signalons que plusieurs recommandations selon les thématiques vont être formulées sous forme des cahiers de charges comme contribution de la RDC à la COP27 en Egypte , grâce à l’appui financier et technique de l’agence de coopération allemande GIZ et USAID.

Rédaction

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