Samedi 16 avril, les députés nationaux de l’Union Sacrée ont réitéré leur « oui » au processus électoral en cours pour 2023.
Selon eux, il y a lieu de croire en des élections vraiment meilleures avec détermination du chef de l’État et patron de l’Union Sacrée Félix-Antoine Tshisekedi.
Ils dénoncent ainsi la cruelle attitude du Front Commun pour le Congo qu’ils traitent de malhonnêtes et de trompeurs.
«Le Bureau de l’Assemblée nationale a porté au calendrier de la session de Mars 2022, la discussion relative à la proposition de la loi électorale ; lequel calendrier a été adopté par la conférence des Présidents dont ceux du FCC et adopté par l’Assemblée plénière. En outre, le Président de l’Assemblée nationale a indiqué lors de la plénière du jeudi 14 avril consacrée à la présentation de la proposition de modification de la loi électorale qu’il suspendait le débat pour un délai d’une semaine.Ceci pour permettre les discussions entre les groupes parlementaires de la majorité et ceux de l’opposition afin d’aboutir au consensus pour les dispositions qui le requièrent. Le Président de l’Assemblée nationale a, en outre, ouvert la porte aux contributions de toutes les forces vives de la République en demandant à ce qui le veulent de déposer au Secrétariat de son Cabinet leurs documents. Ceci étant, il est hors de question que la loi électorale soit discutée en dehors du Parlement», expliquent-ils dans leur déclaration commune.
Les députés de l’Union Sacrée crient tout haut que le FCC bloque le processus électoral et préconise les vieilles cultures revolues et refusées du public congolais : « la culture du glissement ».
Le Front Commun pour le Congo n’a présenté aucun candidat aux élections des gouverneurs.
Une nouvelle qui nourrit grave le débat dans la sphère politique Congolais.
Olivier King/nzadinews.net
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