Au Zimbabwe, les prostituées ne sont plus chères. Elles acceptent désormais des seaux de maïs et des tasses de haricots en guise de paiement de leurs clients masculins à court d’argent.
Au-delà de cela, pendant cette période de rupture de stock de préservatifs, certaines profesionnelles du sexe auraient eu recours à des paquets de pain à la place.
Sans embarras d’autres les partagent dans les médias afin de remplacer rapidement les préservatifs habituels. Une estime que les emballages de pain étaient utilisés depuis longtemps comme substituts aux préservatifs face à des pénuries.
Les vendeuses de plaisir sexuel font de plus en plus recours à ces paquets de pain qui du reste sont un risque.
Selon certaines investigations scientifiques, ces sachets pourraient ne pas être assez solides pour supporter la pression pendant l’acte et peuvent facilement exploser.
Outre cela , la prostitution ne paye plus comme avant l’a avoué l’une d’elles, sous anonymat.
« L’époque où nous facturions 5 USD pour toute la nuit est révolue. De nos jours, même un dollar est accepté, de sorte que vous pouvez acheter des légumes. »
Elles demandent au gouvernement un prêt des petits fonds pour entreprendre dans d’autres domaines de la vie.
Olivier King/nzadinews.net
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