Depuis un temps, les autorités politicoadministratives et militaires de toutes les provinces de la République Démocratique du Congo, sont victimes d’une escroquerie à outrance de la part d’un groupe de gens bien déterminés à salir et à affaiblir les poches des autorités à tous les niveaux en RDC.
A la tête de ce mouvement, une dame du nom de Yvette SAFI KITENGE communément appelée mama ni mama en swahili, qui signifie » une mère de coeur ». Celle-ci, auteur de beaucoup de bévues depuis belle lurette, a mis en place un modus operandi souple et difficile à démanteler si jamais la sagesse n’est pas au rendez-vous.
Selon des sources sûres, la cheftaine de file Yvette SAFI KITENGE procède au recrutement de personnes qu’elle juge nouvelles dans l’exercice de leurs fonctions, à qui elle exige l’échange des présents d’espèce en espèce soit « argent contre argent », promettant ainsi la promotion ou autres titres et avantages aux escroqués.
Technique utilisée
Pour convaincre tout le monde qui tombe dans son piège, Yvette SAFI se fait passer pour la concubine de Joseph Kabila alors sénateur à vie de la RDC, et pourtant, le Raïs qu’elle présente aux gens n’est juste que son complice préparé pour des grands coups, et qui parle éventuellement comme l’ancien chef de l’état Joseph Kabila Kabange.
Avec ce modus operandi, beaucoup de congolais ont été escroqués dans presque toutes les provinces de la RDC, mais comme le malheur ne vient jamais seul, Yvette SAFI KITENGE tombe dans son propre piège grâce à l’expertise des services de sécurité.
Une arrestation très saluée par toutes les victimes, qui appellent la justice congolaise à dire le droit, pour exiger à cette dame et à toute sa bande de dénoncer le faux raisi Joseph Kabila qui vivrait dans l’une des provinces de la République Démocratique du Congo et tous leurs complices.
Le feuilleton vient de s’ouvrir, les racontars dans la société dans le souci de blanchir madame SAFI KITENGE ne regorgent aucune vérité si ce n’est que chercher à se sauver et à nuire inutilement certaines personnalités du pays.
L’heure de l’État de droit est venu, la place des escrocs est en prison disent les victimes de la RDC.
nzadinews.net rédaction
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