L’humanité a célébré le dimanche dernier la journée mondiale de la population.
Une occasion pour le gouvernement fédéral de la RDC d’exprimer ses ambitions dans la lutte contre les antivaleurs question d’améliorer la qualité de vie de sa population.
Parmi les axes principaux de cette bataille figure la lutte contre les violences sexuelles, particulièrement celles faites à la femme.
Dans son discours de la JMP, Christian Mwando a rappelé les chiffres qui mettent en exergue la gravité de cette violence faite à la femme.
« Depuis deux décennies la RDC fait face aux vulnérabilités et défis majeurs suivants en matière de population entre autres…la prédominance des violences sexuelles et basée sur le genre avec environ 64% des femmes ayant subi au moins une fois des violences de la part d’un partenaire intime ou non intime. Cette situation s’est encore aggravée pendant cette période de COVID-19… »
Cette situation de vulnérabilité couplée à une démographie galopante n’a pas été contrebalancée par une croissance économique inclusive, créatrice d’emploi et de revenu. Il est donc urgent de changer la donne et d’agir a t-il ajouté.
Pour ce faire, le Président de la République a lancé, souligne le ministre d’État au plan, la campagne nationale pour la tolérance zéro contre la violence sexuelle et basée sur le genre, y compris les questions de prévention contre les abus sexuels.
« Ce qui marque l’engagement du pays a éradiqué ce fléau qui ôte la dignité humaine aux femmes et jeunes filles victimes. » a confirmé Christian Mwando.
Un signal fort à tout celui qui s’hasardera de s’appliquer dorénavant à cette mauvaise pratique.
La femme congolaise pourrait désormais être sûre de vivre sa vie en toute quiétude, parce que protégée, sur toute l’étendue de la République.
Shashu Yenga/nzadinews.net
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