La ville de Lubumbashi est loin de devenir johbourg comme pouvaient le penser différentes autorités qui se sont succedées à la tête soit de la province du haut Katanga, soit de la ville de Lubumbashi. A la base, la vente à la sauvette a pris une bonne place dans la société jusqu’à transformer le milieu, en une Jungle.
Et pourtant le cheval de bataille de l’actuel maire Ghislain lubaba buluma, la lutte contre cette pratique n’a produit aucun résultat favorable, si ce n’est que occasionner l’insalubrité afin de déboucher à l’épidémie de choléra, qui a déjà fait plus de 3000 personnes à son actif depuis 5 mois aujourd’hui.
Selon certaines sources, c’est le manque de l’emploi qui est à la base de ce phénomène qui concerne plus des jeunes, femmes et les enfants dont les tuteurs patogent dans le chômage.
Conséquences, toutes les artères de la ville ainsi que d’autres coins stratégiques sont plus embellis par des immondices que par la propreté, ce qui ne donne pas l’espoir d’une ville attendue d’ici 2020.
Pour monsieur Joël tshonyi de la société civile haut Katanga, remédier à cette situation nécessite d’abord la création d’emplois pour occuper tout l monde, élargir des espaces publics pour ériger des marchés devant contenir tout le monde et enfin, instaurer la discipline à tous.
Sinon, ceci ne restera qu’un slogan.
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