Éditorial : Coronavirus, pandémie ou psychose de l’humanité?

Le monde entier vit depuis quelques mois au rythme du Corona virus une0 pandémie apparue d’abord en Chine avant de faire le tour du monde. Le comble est que la désinformation a pris place la vérité et fait penser à l’apocalypse

L’ennemi public numéro un est le COVID-19, à la base du Syndrome Respiratoire aigu Sévère (SRAS Covid), lequel appartient à la grande famille des Coronavirus qui provoquent des maladies allant du simple rhume à des maladies respiratoires très graves.

A ce jour, elle a fait plus de 8000 victimes sur plus de 200 milles cas détectés d’après le dernier rapport de l’OMS.

Son avènement et la vitesse de son périple a donné vie à beaucoup de spéculations et parfois au mauvais marketing jusqu’à installer une peur sans précédent.
La problématique est de voir une personne qui n’est pas microbiologiste ni virologue et qui n’a jamais manipulé un microscope semble être plus informée sur le sujet que le spécialiste.
Ce dernier peut confirmer les informations sur le COVID-19 (naturel ou fabriqué, curable ou incurable, saisonnier où durable).

Quand aux retombées géopolitiques et économiques de la pendemie, c’est autre paire de manche.

Il faut savoir que les épidémies et pandémies ne datent pas d’aujourd’hui.
Au Moyen-âge, la “peste noire” a ravagé une bonne partie de l’Europe si bien qu’on croyait que c’était la fin du monde.
Les pandémies des grippes ont également frappé l’Europe, l’Asie et l’Afrique à la même époque.
Au début du XXè siècle, entre 1918 et 1919, le virus de la “grippe espagnole” a tué au moins 50 millions de personnes, soit au moins 2 fois plus que la 1ère guerre mondiale. Et pourtant, chacun a une idée de ce que fut la 1ère guerre mondiale mais presque personne ne sait ce qu’a été la “grippe espagnole”.
La seule différence entre ces épidémies et pandémies du passé et celle de maintenant est que la mondialisation n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui. L’interconnexion du monde par la fluidité des déplacements de l’homo aviator et le développement extraordinaire de la technologie lient plus que jamais le destin de l’humanité pour le meilleur et le pire.
Nous sommes donc informé en temps réel et continu sur une pandémie qui se déroule sous nos yeux pour la première fois dans l’histoire du monde.

A défaut de surveiller et authentifier nos sources d’informations, nous ne mourons peut être pas du Corona virus mais de l’infopullution et l’infobésité deux pathologies très mortelles

Ibanga Djibril /nzadinews.net

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